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26 août 2007

Conseil Municipal vendredi 18 novembre 2005 Délibération n° 00-05


 

 

 

Conseil Municipal vendredi 18 novembre 2005

 

 

Délibération n° 00-05

 

 

Renouvellement de la concession pour une distribution publique de gaz avec Gaz de France



Une concession de 30 ans dans laquelle l’autorité concédante garanti au concessionnaire

- le droit exclusif d’exploiter le service public

- l’ensemble des installations fixes existantes et les modifications, les extensions, les branchements etc…

- et être le SEUL d’avoir droit de faire usage de la concession, de créer, d’étendre, de renforcer, de renouveler

 

Il est vrai qu’il aura comme devoir d’entretenir et de réparer.

 

30 ans c’est bien long, même si gaz de France est la seule entreprise capable actuellement de fournir à 22 000 foyers antibois un service public de gaz.

 

S’il advenait que comme EDF la privatisation soit effective ce serait un beau cadeau que l’on ferait à des actionnaires privés qui n’auraient que des profits à prendre.

 

Faut-il vraiment aller jusqu’à 30 ans de concession bloquant ainsi peut-être toute autre perspective sachant que Gaz de France pourra au bout de 15 ans se défaire de sa concession.

 

Nous avons deux ans avant chaque expiration de la concession pour constater si le maintien du service ne présente plus d’intérêt compte tenu des progrès de la science ou de circonstance économiques ou techniques de caractère permanent.

 

À ce jour l’Etat détient plus de 80 % de Gaz de France. Qu’en sera-t-il demain avec l’ouverture Européenne ?

 

Car ce n’est pas ce contrat de 30 ans avec Gaz de France qui est inquiétant.

 

 C’est le devenir de Gaz de France qui l’est, et ce d’autant plus que le prix du gaz étant indexé au prix du baril de pétrole de beaux futurs bénéfices sont en perspective

 

Ils sont suffisamment extraordinaires qu’ils en deviendront alléchant à tous ceux qui rêvent d’action de blocage (golden share) avec toutes les conséquences que cela impliquera pour l’usager qui devra supporter, (comme actuellement pour le pétrole) les écarts en hausse du prix.

 

Et d’autant plus que la raréfaction annoncée de l’essence et du fioul domestique ne laissera très bientôt plus beaucoup d’échappatoires.

 

Mais n’y a-t-il aucune autre solution que d’accorder 30 ans de concession ?

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26 août 2007

Pour ou contre la videosurveillance ?

 

 

 

Pour ou contre la videosurveillance ?

 

 

Soit à se laisser guider par un premier sentiment tout personnel, force est de constater que le problème ne se pose pas ainsi.

Quelle est l’utilité de la vidéosurveillance, serait plutôt la bonne question pour pouvoir répondre à l’interrogation supra.

Incontestablement, aujourd’hui, la vidéosurveillance préventive est efficace pour la très petite criminalité qui rend la vie impossible (bien que les habitudes vestimentaires actuelles rendent très difficiles les identifications, de même que les changements rapides de tenues, d’engins, de casques…).

Mais celle-ci se déplaçant rapidement de lieux amène automatiquement l’augmentation du nombre de caméras pour y faire face.

Or l’augmentation du nombre de caméras pour assurer la sécurité réduit chaque fois notre champ de liberté. (À Londres 4,2 millions de caméras vidéos filment en moyenne 300 fois par jour chaque citoyen. La sécurité préventive est-elle meilleure ?)

Par contre la vidéosurveillance ne sert à rien en prévention de la grande criminalité et du terrorisme s’il n’y a pas auparavant les renseignements nécessaires pour identifier, donc pour surveiller (Les attentats de Londres en ont été l’exemple frappant)

La vidéosurveillance amène d’autres questionnements. Que peut-on voir sur les images ? (Qualité, identifications ….) et quel est l’usage de cette vision ?

Qui contrôle les images et à quoi sont-elles destinées ? Que fait-on des informations ? Qui contrôle qui et où ? Et surtout qui surveille ceux qui nous contrôlent ?

Il faut être clair à ce sujet, arrêter les fausses informations, les statistiques tronquées ou déformées et les satisfecit électoraux. Depuis 1978 (Loi informatique et liberté) aucun gouvernement n’a affiché ses préférences laissant à chacun le soin d’agir « selon la loi ».

Car s’il n’y a soupçon sur quelqu’un ou quelque chose il ne peut y avoir de surveillance a priori, sauf à l’interprétation des images et à l’organisation de fichiers. (Déjà sur simples soupçons, 1500 personnes ont été classées injustement comme criminelles)

Et ceci sera particulièrement vrai dans les 10 ans à venir avec le développement de la micromédia. À terme, que donnera la synergie de tous les systèmes (Vidéosurveillance, GPS, téléphones portables, ordinateurs, cartes bancaires …) pour d’éventuelles créations de fichiers sur chacun avec la possibilité (déjà existante) de faire des réquisitions télématiques au moindre soupçon.

Nous pensons qu’un développement très modéré de la vidéosurveillance est souhaitable en des lieux bien précis patrimoniaux mais que rien ne remplacera les hommes sur le terrain (nuit et jour), le sens du civisme et de la vie en quartier, et en corollaire le développement de la « dénonciation civique » d’actes ou attitudes répréhensibles qui aujourd’hui, en France, est considéré comme du « mouchardage » par tous ceux qui ont à se reprocher.

Mais la aussi faudrait-il des cellules d’écoutes pour recueillir les informations et suivi ou vérification sur le terrain….avec du personnel qualifié pour le faire.

En conclusion, la vidéosurveillance est, à certains endroits stratégiques, intéressante et nécessaire, à condition qu’en cas de besoin, l’intervention policière soit pratiquement simultanée avec la vision des actes criminels.

Mais la vidéosurveillance ne doit pas laisser croire aux habitants qu’elle est le gage d’une sécurité totale les poussant à négliger les plus élémentaires mesures de sécurité dans les logements comme à l’extérieur.

Donc pour ou contre la vidéosurveillance ?

Oui si elle est préventive. Non si elle est inquisitrice !

 

Gilbert JACOBELLI

Président d’associations

26 août 2007

PLAN LOCAL D’URBANISME Conseil municipal du Jeudi 21 décembre 2006-12-20

 

PLAN LOCAL D’URBANISME

 

Conseil municipal du Jeudi 21 décembre 2006-12-20


 

 

Intervention Gilbert Jacobelli

 

 

 

Il est incontestable que ce PLU reprend, parfois a la virgule près, l’ancien POS annulé et en grande partie toutes les actions, le tout corrigé aux exigences du PADD.

 

Le survol que nous avons effectué, en peu de jours, dans le grand nombre de documents fournis n’a pas permis d’analyser finement tous les plans et les écritures d’autant qu’il y avait a coté et le budget primitif et des délibérations.

 

Néanmoins, déjà, nous avons relevé de nombreuses erreurs sans compter sur l’aspect purement technique sur lequel nous reviendrons plus tard.

 

Vous annoncez dans le rapport de présentation :

« La sauvegarde de l’identité de la commune repose sur une préservation des espaces naturels ou bâtis et une protection paysagère ».

 

Voilà qui nous fait grandement plaisir parce que depuis des années nous n’avons cessé de clamer, avec nombre d’autres personnes, cette évidence tant ici que dans tous les débats, réunions ou colloques organisés par vous-même ou votre prédécesseur

 

Merci Monsieur le Maire d’aborder, enfin, les véritables créneaux de survie de la ville, car nous entrons dans une période difficile.

 

Mais la aussi il y aura loin de la coupe aux lèvres.

 

Tout d’abord parce que vous bâtissez ce PLU autour d’un axe de croissance de population que nous contestons depuis le PADD et dont les chiffres se vérifient de plus en plus par nombre d’études statistiques , dont la dernière montre une baisse très significative du nombre d’entreprises créées en particulier sur la technopole sophia antipolis.

 

Nous n’avons rien inventé , les chiffres sont à la disposition de tous, il est dommage que ce PLU soit bâti autour du recensement de 1999 avec une croissance non significative de la réalité.

 

Nous contestons la croissance de population exagérée qui plombe ce PLU d’obligations qui ne laissent pas la place a une réelle mise en œuvre d’une véritable qualité de la vie et de la protection de l’environnement sous toutes leurs formes.

 

 rendant ainsi encore plus attractive la ville lui permettant ainsi de pouvoir concurrencer tres sérieusement les structures étrangères en plein essors. Depuis une trentaine d’années on s’est endormi sur les acquis en oubliant d’évoluer conformément aux nouvelles demandes. Nous avons pris un sérieux retard, d’autant qu’il n’y a , a part les collectivités, aucun investisseur pouvant doper les PME et PMI. Seul l’investissemnt public

 

En effet au dernier recensement estimatif de juillet 2004 la ville d’Antibes avait perdu près de 3000 personnes par rapport aux chiffres de 1999.

 

Par ailleurs l’estimation officielle pour la période 2006-2015 fait apparaître un accroissement de la population active au niveau national de 0,3% et non plus de 0,7% . Ce qui est énorme

 

Et dans les Alpes-Maritimes le taux de migration tendancielle équilibrée s’établit à 0% pour la même période.

L’envisageable, aujourd’hui, est une stagnation de la population, donc du prévionnel emplois, logements …tc.. et non pas un augmentation d’environ 0,8%.

 

Ce qui se prouve car, en 5 ans, la commune d’Antibes n’a vu s’établir que 1216 ménages supplémentaires (correspondant bien a cet accroissement de 0,3%)

 

Pendant cette même période, on a construit 1775 unités de logements

 

Donc on construit plus de logements que nécessaire et ce, à un rythme de croissance d’environ 3,3% du nombre total des 35 000 résidences principales, très largement supérieur a la nécessité des 250 familles qui s’installent chaque année sur la commune. (Il y a a antibes 55609 logements)

 

On peut donc raisonnablement estimer que cette différence de logements supplémentaires n'est construite que pour la spéculation ou le placement…. D’ou les si fortes augmentations des prix et 16703 résidences secondaires (environ 20% des logements de la ville)

 

Or ce PLU semble basé essentiellement sur la récupération et l’économie du spatial disponible pour la construction de logements pour les actifs.

 

En effet vous prévoyez près de 4500 logements nouveaux avec environ 1800 en PLS/PLU/PLAI/PLUS…etc

 

Or vous avez a Antibes environ 2000 logements sociaux alors que la loi vous en impose pres de 7000 .

 

D’ici 10 ans nous serons toujours en déficit de 50% sur la réglementation.

 

C’est pourquoi nous approuvons totalement le fait que vous envisagiez de prendre des mesures pour mettre sur le marché tous les logements vacants.

 

Ceci étant néanmoins et probablement très utopique parce que ce sera s’attaquer directement a la propriété privée, …et là c’est une autre affaire puisque ici même vous avez affirmé que vous étiez viscéralement attaché a la propriété privée.

 

Alors s’attaquer a celle des autres ?

 

Ceci étant la commune a un besoin vital de logements sociaux ou de logements locatifs conventionnés, sinon a plus ou moins brève échéance, ce sera la fuite des actifs vers d’autres lieux, avec tous les problèmes qui y seraient attachés

 

il convient donc de s’interroger.

 

Une première vision rapide du rapport de présentation, par ailleurs belle œuvre de publicité promotionnelle pour la ville, n’inspirera peut-être pas trop les antibois qui pourraient avoir une optique différente sur bien des points.

 

Et en premier lieu le fait que vous réserviez environ 100 hectares, (près de 4% du territoire communal) au titre des emplacements réservés, (en dehors bien sur des réserves pour logements, ce qui avoisine près de 10% du spatial communal soit près de 250 hectares de biens privés.

 

Peut etre que les propriétaires ne seront pas tout a fait d’accord avec vous lorsqu’ils vont avoir connaissance de ce PLU.

 

Par ailleurs les projets structurants pour l’avenir sont pratiquement inexistants hormis l’échangeur A8 et le prolongement de la déviation de la RD 6007 (dont j’entends parler depuis mon enfance) alors que la commune a un besoin vital de se doter d’axes vitaux de dégagements transversaux.

 

Le Xieme projet de transport en site propre est proprement ubuesque et fera sourire plus d’un antibois

Prévu pour passer par l’avenue jules grec pour rejoindre le chemin de la sarrasine.

Pourra-t-il vraiment passer par les chemins de la constance et de la suquette ?

 

Venons en aux eaux pluviales. Depuis 30 ans, la commune étudie …et les gens ont peur. Qu’importe l’administration veille a l’application de la réglementation.

 

Un seul petit point amusant aussi dans ce chapitre :

Pourquoi dans l’immensité du bassin Laval en face du cimetière portée tout en rouge existe-t-il un terrain et une petite maison laissés tout en blanc ?

Tout serait inondable …sauf elle ?

 

Par contre, Monsieur le Maire, j’aurais appris que la pointe du cap débute à golfe juan et se termine à la Siesta.

 

Le Cap rayonne mais …….si loin ?

 

Autre point.

 

Vous prévoyez d’ici 10 ans de construire 6500 logements locatifs conventionnés sur le territoire de la commune d’Antibes ?

 

Compte tenu

Cela ne va-t-il pas faire beaucoup ?

 

Mais plu difficile comment allez vous faire accepter aux antibois concernés que ces 6500 logements vont tous se retrouver situés en majorité dans les secteurs de la fontonne, des bastides et des combes…

 

Récréant ainsi des zones sensibles puisque vous prévoyez dans ces secteurs des hauteurs de 18 mètres ?

 

Quelques curiosités dans l’inventaire du patrimoine  font sourire:

 

Villa El Djezaïr ;

Vous écrivez pour cette villa Inscrite à l’inventaire des monuments historiques depuis le 1er septembre 1999  

« Doit être conservée comme témoin de l’architecture »

 A quoi donc correspond le permis déposé pour 39 logements à cet endroit

 

Et enfin un grand sourire pour finir par la Villa Pellerin classée dans le patrimoine de la ville avec comme conclusion des auteurs :

« Réalisation qui par la qualité de son architecture et son intégration dans le site mérite d’être protégée »

 

 

Au vu du rapide parcours effectué dans la grande quantité de documents visionnés sommairement et sans plus nous étendre dans toutes les considérations techniques nous avons constaté que dans ce PLU il y a des points très sensibles qui déjà notre avis et sans être devin permettent d’entrevoir des points de conflits.

 

Il est vrai que vous avez pris de grandes précautions réglementaires, et ce PLU qui se substitue au POS exprime un projet de ville .

 

Il devrait s'harmoniser avec le Programme Local de l'Habitat et le Plan de Déplacements Urbains, qui en sont les corollaires et nous aurions y voir mieux traites

l’embellsement de la ville essentiellement par la protection du patrimoine et la végétalisation,

 

le développement de emploi en favorisant l'implantation d'activités de technologies nouvelles,

 

ainsi que le maintient de la diversité sociale et la lutte contre les inégalités.

 

 

Nous n’avons pas tout a fait la meme perception pour ce projet de ville.

 

 Mais n’ayant pas en main tous les documents concernant le bilan de la concertation nous attendrons l’enquête publique qui permettra probablement d’éliminer, si vous tenez compte des observations, quelques nouvelles procédures, d’autant que ce PLU assez permissif laisse a l’administration le soin de « juger » ce qui promet quelques belles jurisprudences.

 

Nous dirons donc longue vie au PLU…Modifié.

26 août 2007

Maîtrise de l’énergie


 

 Il faut se rendre compte qu’il est absolument indispensable de changer radicalement nos methodes de consommation energetique dans les 20 a 30 ans à venir si nous ne voulons pas voir s‘emballer les emissions de gaz à effet de serre avec toutes les conséquences désastreuses qui y sont liées.

 

Aujourd’hui 87 % de l’énergie consommée dans le monde provient du fossile pour seulement 7% de nucléaire et le reste pour les autres moyens energetiques.

 

Et quoi qu’on développe comme moyen de substitution dans les années à venir pouvant aller jusqu'à doubler ou tripler les énergies de substitution nous ne pourrons, dans le laps de temps qui nous reste, supprimer l’énergie fossile.

 

Par contre nous croyons fortement qu’avec les économies d’énergies, on peut diminuer jusqu'à 50% de la consommation énergetique dans le monde ce qui économiquement serait une source formidable de revenus et d’emplois avec toutes les technologies ou solutions nouvelles liées a cette recherche d’économies.

 

C’est la raison pour laquelle nous approuvons toutes les mesures qui sont prises pour économiser l’eau et l’énergie quelles qu’elles soient.

 

Mais nous souhaitons que ces économies d’énergies se prolongent dans toute la ville et la casa non seulement dans les établissements publics mais aussi dans la population et que par ailleurs des mesures incitatives financières, techniques ou matérielles apparaissent au travers du PLU et du SCOTT

 

Et qu’apparaissent en plus grand nombre dans les prévisions de ces économies des moyens plus généraux comme l’utilisation de la biomasse, le biogaz, le bio-carburant et qu’une part beaucoup plus importante soit réservée au dévelopement de l’énergie solaire qu’elle soit photovoltaïque ou thermique.

 

Par contre il serait intéressant que les bilans énergétiques de la ville soient plus développés afin que nous puissions en tirer des résultats environnementaux et économiques

 

Et ce afin de préparer l’avenir de la ville et des citoyens

26 août 2007

Intervention sur délibérations n° 28-3

Intervention sur délibérations n° 28-3

« Fonds d’Intervention pour les services l’Artisanat et le commerce Antibes Centre Ancien – Phase 1

 

 

Une étude aussi importante sur le centre ville est en cours. Il est dommage que ne soient pas consultes celles et ceux qui vont ou non faire le succès de cette future réalisation, en l’occurrence TOUS les habitants d’antibes juan les pins.

 

Tout d’abord ne conviendrait-il pas de définir une fois pour toute ce que l’on entend par « centre ancien de la vieille ville »

 

Et nos ne pensons pas que ce soient les commerçants qui peuvent le mieux le définir car de nombreux dysfontionnement ont été constatés juqu’ici.

 

Par centre ancien de la vieille ville entend-on centre historique, centre economique ou lieu préféré des antibois ?

 

Veut-on s’attacher à modifier un « coin d’Antibes » pour essayer de défendre et soutenir le commerce ou ouvrir un véritable parcours touristico-économique de chalandise dans lequel seraient inclus les commerces existants ou à venir ?

 

Par ailleurs veut-on piétonniser le centre ancien ou continuer un mélange pieton-automobile.

 

Attirer les automobilistes, futurs pietons au centre ville ou les laisser à l’extérieur ?

 

Depuis des années il n’a pas été répondu à ces interrogations précises qui peuvent déterminer le futur aspect non pas du centre vielle ville mais de tout le centre ville.

 

on modifie de-ci de là on prend des demi-mesures, en fonction des atermoiements (plus ou moins justifiés mais toujours intéressés) des uns et des autres, en essayant des solutions souples pour ménager chacun alors que des mesures urgentes de survie de ce coin de ville sont à prendre tres rapidement.

 

Avec pourtant une constatation simpliste : le tourisme à plein c’est deux mois sur 12.

 

Les 10 mois restants sont animés par les antibois et aussi par certains touristes vennant ici retrouver le charme d’un paysage ou d’un passé qu’ils aiment.

 

L’ensemble des habitants d’Antibes et de Juan-les-Pins, nos concitoyens, ne méritent-ils pas de bénéficier d’un « coin de ville » oû ils puissent se promener en toute quiétude au milieu d’espaces fleuris, ombragés, verdoyants et accueillants en dehors de la pollution des échappements et du bruit des moteurs ?

 

Une partie du Centre Ville a deja été transformé avec plus ou moins de bonheur par ce que est appelé «esprit FISAC ».

 

Peut-être aujourd’hui les études menées pourraient-elles bénéficier des idées ou sugestions de l’ensemble de la population.

 

Ne serait-ce pas l’occasion de la consulter d’une manière ou une autre ?

 

Car après tout c’est d’elle que dépendra ou non le succès de l’évolution de l’ensemble du tissu artisanal et commercial de la vieille ville, dont nos concitoyens vont quand même, au travers de leurs impôts, régler la note que le résultat soit bon ou mauvais.

 

Pour n’avoir pas su, pendant des décennies, intéresser nos concitoyens les commerçants et artisans du centre ville ont payé et payent toujours le prix fort de cette politique qui a conduit à une situation difficile pour eux.

 

N’oublions pas les leçons du passé et ne renouvelons pas les mêmes erreurs ou dysfontionnements car revenir en arrière sera alors pratiquement impossible.

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26 août 2007

POURQUOI PAS LA TRANSPARENCE ?

 

 

 Un certain nombre d'audits sur des sujets tels que l'Administration de La Ville, la SACEMA, la SAEM du port Vauban, l'EPIC, le CCAS ont été réalisés

.

Les Citoyens de la Ville se posent des questions sur ces audits et ces études:

 

-Quels ont été, depuis 2001, les audits effectués et études entreprises?

 

- Quel organisme a été choisi pour chaque mission ou étude, sur quel critère et quel en a été le coût?

 

- A qui les résultats ont ils été ou seront ils communiqués?

 

- Où peut-on en avoir l'inventaire et se procurer les résultats dans leur totalité.

 

- Quels sont les enseignements tirés et quelles modifications ont été appliquées?

 

Tous ces audits ou études qui engagent les finances locales devraient être connus de tous les contribuables antibois et mises à la disposition du public, même lorsque ce ne sont que des audits et études prospectifs (comme la réglementation le prévoie d’ailleurs)

.

Ceci éviterait bien souvent d'avoir à faire face à des questions publiques et aurait l'avantage de désamorcer des conflits avec les administrés

 

En cette mesure s'inscrirait très bien dans le cadre de la transparence que nous souhaitons indispensable dans les rapports entre l'Administration Municipale, les élus et les concitoyens.

26 août 2007

STATIONNEMENT ET PARKINGS


 

 La Ville d'Antibes-Juan-Les-Pins est une ville où, il ne faut pas s'en cacher, la circulation et le stationnement relèvent à longueur d'année d'une gageure et pendant la période estivale du parcours du combattant.

 

Depuis des années, des essais, tous plus ou moins négatifs, ont été effectués. La faute en revient à ces bureaux d'études extérieurs trés onereux qui ont eu charge d'étudier les flux indigènes et migratoires .

 

La sagesse aurait été, avant d'appliquer leurs résultats, de consulter le bon sens des Antibois et Juanais, ce qui aurait évité les erreurs actuelles.

 

Depuis des années on parle des problèmes de circulation, stationnement et parkings, et aucune solution satisfaisante n'a été mise en place.

 

Qu'en est-il exactement de la volonté municipale de création de stationnement autre que celle consistant à mettre des parkings en périphérie avec des navettes.?

 

Le problème du stationnement devient crucial et il ne sert à rien d'attirer du monde à Antibes si on ne peut le faire circuler et stationner.

 

Cet état de fait ne fait qu'aggraver la situation du commerce antibois

 

Il n'a jamais été répondu franchement à la question de savoir pourquoi à Antibes-Juan-Les-Pins on n'a pratiquement pas de parkings souterrains ou de silos alors que dans les villes alentour on n'hésite pas à en édifier.

 

Qu'en est-il de l'accord Etat-Ville sur la piétonisation du centre-ville ?

 

Quelle est la politique d'extension (Urbanisme-circulation-sécurité ....) de la Ville. Jusqu'où, vers où, pourquoi, comment ?

 

Des études prospectives ont-elles été entreprises ? Des idées innovantes ont-elles été trouvées ? Des solutions sont-elles envisagées ?

 

Toutes questions que se posent nos concitoyens et auxquelles il conviendrait de répondre enfin en toute clarté et impartialité.

 

26 août 2007

Pour une Transparence financière dans la démocratie locale.

 Dans le cadre de la mise en oeuvre de ses objectifs «transparence financière», la ville d’Antibes ne pourrait-elle construire et publier un rapport économique, financier et de « notation » de la collectivité ?

 

L’objectif de ce dispositif serait double. Il s’agirait d’une part d’amplifier la démarche de transparence dans la gestion de la ville et d’autre part de donner aux Antibois et Juanais une visions synthétique des perspectives financières de la ville.

 

Cette opération pourrait s’articuler autour de deux volets :

1°) La publication du rapport économique et financier de la ville comportant la situation économique, les grandes opérations d’aménagement et la synthèse du redressement financier à mi-mandat

2°) La publication d’une notation attribuée par une agence spécialisée en expertise financière (comme par exemple Standard and Poor's) de manière à ce que les partenaires économiques et les habitants puissent identifier les perspectives financières de la ville et mesurer ses forces et ses faiblesses dans la compétition

3°) Etablissement d’un délai de réalisation (entre la réflexion, le vote et la réalisation) de manière a ce que tout un chacun puisse réaliser de la plus ou moins grande difficulté ou volonté politique à l’aboutissement

4°) Communication du budget global de la réalisation avec le nombre de ressources humaines mobilisées

5°) Personnes ou organisme (associatif, administratif ou autre) chargé de sélectionner les agences de communication et de notation, puis de mettre en œuvre les processus et les outils de rédaction et de composition du rapport économique et financier.

6°) Mesure des résultats par sondage ou contacts directs pour évaluer l’impact des opérations de communication auprès des publics (banquiers, entreprises, journalistes, associations, contribuables….)

 

Ceci pour une meilleure Démocratie Locale qui est un facteur essentiel de réussite permettant un choix des partenaires, une analyse rigoriste des finances communales pour pouvoir disposer d’un certain recul par rapport à la gestion financière de la ville et être attentif à la population captive à ce genre de démarche

26 août 2007

DEPUIS 2003 : ANNÉES DES RETRAITÉS !

Il y a 20 millions de retraités en France. Publicités et feuilletons télévisés les montrent voyageant ou en famille, séduisants et sportifs, jouissant d'une grande aisance financière et de la considération publique. Avant les élections, pour les flatter, on qualifie leur état de " bel âge" gage de toutes les vertus. En 2003, brutalement, ils deviennent des "personnes âgées" responsables de la dette sécurité sociale, la cause du déficit des caisses de retraites et des budgets publics. Populairement ils sont classifiés seniors 1er, 2ème, 3ème ou 4ème âge suivant leur état physique (peut être par comparaison inverse avec les étapes des nourrissons)et classifiés comme "budgétivores". Avant on parlait respectueusement ou affectueusement des "anciens" et lorsqu'on les traitait de "vieux" c'était pour leur prouver qu'on les aimait. Dans notre société de profits, où il est de bon ton d'avoir une apparence dynamique, ils ne sont plus productifs donc une charge pour la société. Et malgré leur désir de rester coûte que coûte "dans les normes",  ils connaîtront (si ce n'est déjà fait), à un moment ou l'autre, l'immense détresse de la déchéance physique, l'humiliation mentale ou financière et l'obligation d'avoir a solliciter, demander. Eux qui ont tant donné et produit pour le bien de la Nation ils sont souvent abandonnés par les familles et s'ils vivent assez bien pour quelques nantis les autres survivent à la limite de la précarité. Issus d'une époque où la dignité et la moralité étaient des signes honorifiques ils sont discrets avec la fierté silencieuse des bons citoyens. Et lorsque dans leur solitude, en 2003, ils se sont mis à mourir par milliers, la France en vacances, réveillée par un courageux médecin, ne savait plus ou mettre leurs cadavres dans cette période de canicule. C'est alors que s'organisa le grand "show" propagandiste politico-médiatique des fausses-vraies communications-informations. Chacun rejetant sans vergogne ses erreurs sur les autres comme il est de tradition dans le politiquement correct. Dans cette horreur estivale nul responsable. Mais, comme de coutume, une avalanche de déclarations d'administratifs ou politiques se critiquant mutuellement et s'érigeant en victimes des failles de systèmes qu'ils dirigent (ou ont dirigé). Car, bien sur, c'est la faute aux autres, à la météo, au soleil et au manque de solidarité. La faute aux vieux qui ne boivent pas assez et ne connaissent pas les méthodes pour survivre...etc.. Les Français demandent des coupables. C'est eux qu'on culpabilise tout en promettant quelques subsides aux plus revendicatifs....en oubliant les terribles failles du meilleur système de protection sociale au monde. Et surtout personne ne parle des causes de cette canicule. Depuis des années apparaissent de dangereux bouleversements climatiques qui préfigurent les grandes catastrophes futures : sécheresse, canicule, incendies, inondations.... 2500 scientifiques unanimes viennent encore de lancer un appel solennel. Pourtant on continue, uniquement par profit, à augmenter l'effet de serre. Mais rechercher les causes serait dénoncer un système basé sur l'enrichissement personnel. Aujourd'hui, et pour la circonstance, on a désigné à la vindicte populaire comme uniques responsables "les non solidaires". Ils devront travailler 1 jour de plus par solidarité financière et ceci en compensation des sentiments oubliés dans cette société Française forgée depuis des décennies à devenir insensible et indifférente. (Qui ne se souvient des recettes détournées de la vignette que les automobilistes ont payé pendant des décennies par solidarité envers les vieux ?). Mettre en place des budgets c'est bien et indispensable. Mais ce qui fait aussi vivre plus longtemps les "vieux" ce sont les attentions, la considération et l'affection. A ceux de qui nous tenons la vie nul ne doit se vanter de les leur donner. Certes la vieillesse est une fatale maladie à laquelle personne n'échappe. Mais à force de vouloir mettre en place un système coûteux de prévention de la délinquance sous toutes ses formes on a oublié ceux qui toute leur vie ont travaillé (et cotisés) honnêtement dans le respect du devoir et de la société Française. Quelle mortelle récompense !

26 août 2007

LA PIETONISATION POUR LA VIEILLE VILLE ?

Soit à se laisser guider par un premier sentiment initié par votre infographie, force est de constater que la piétonisation ne se limite pas à cette interrogation. Il convient tout d’abord de définir le secteur « vielle ville ». Le MAIRE dans son projet de ZPPAUP (Zone de Protection du patrimoine Architectural Urbain et paysager) le défini d’une manière qui se retrouve dans le PLU. Le piéton autochtone ou le touriste l’apprécieront tout autrement. Alors piétonisation historique, économique ou sentimentale ? Ce devrait être là la première réflexion sur laquelle il conviendrait de débattre. Car veut-on piétonniser un « coin d’Antibes » pour favoriser le commerce au centre historique ou ouvrir un parcours touristique dans lequel seraient inclus les commerces existants et à venir ? Déjà le boulevard d’Aguillon, une partie de la rue de la République, et quelques rues (Sade, Thuret, horloge, etc…) sont en circulation restreinte. Les commerçants n’ont apparemment pas à s’en plaindre. Pour les piétons, nous restons très dubitatifs. Quant aux automobilistes, avec cette solution, ne nous étonnons pas s’ils préfèrent émigrer vers des coins plus accueillants tant le bourbier justement créé par ces semis piétonisations est insipide. Osons aujourd’hui poser la vraie question : est-ce que actuellement l’encombrement des trottoirs de la rue de République, de la rue Clémenceau, de la rue James Close par les étals des commerçants favorise le chalandage ou rejette-t-il les piétons vers le centre des rues au milieu de la circulation ? Il ne peut y avoir mélange des genres. Soit on piétonnise totalement soit on laisse la circulation libre. Dans le premier cas, cela signifie que les automobilistes futurs piétons puissent y accéder facilement en les rapprochant au plus près en créant (comme ailleurs) de nombreux parkings (souterrains, en étage, …). Dans le second, on facilite le transit par tous moyens. Depuis des années on ergote, on modifie de-ci de là on prend des demi-mesures, en fonction des atermoiements (plus ou moins justifiés mais toujours intéressés) des uns et des autres, en essayant des solutions souples pour ménager les électeurs. Mais en repoussant toujours plus loin des décisions devenues depuis des années impératives pour le développement d’un « grand quartier » en perte d’intérêt (le marché provençal en est l’exemple frappant, la désertification indigène du cœur de la vielle ville en étant un autre). Pour nous la solution est dans la piétonisation totale d’une zone incluant la place De Gaulle, rue de la République, rue James Closes, cours Masséna, rue Aubernon, boulevard d’Aguillon, rue Vauban avec aménagement d’une partie de la plateforme herbeuse du port Vauban pour des activités temporaires et limitées (ludiques, artisanales, maraîchères, artistiques ….). Avec changement radical des sens de la circulation dans et autour de cette zone. Bien sûr avec (comme cela se fait partout) libre circulation (et non, stationnement) pour les riverains avec accès réglementé (et limité en tonnage) pour les commerces. En contrepartie création de parkings à tarifs préférentiels pour tous les riverains qui ne bénéficient pas de garages privés. Avec une constatation : le tourisme à plein c’est deux mois sur 12. Les 10 mois qui restent sont pour les antibois et aussi pour quelques touristes qui viennent ici pour retrouver le charme d’un passé qu’ils aiment. Nos concitoyens ne méritent-ils pas aussi de bénéficier d’un « coin de ville » ou ils puissent se promener en toute quiétude au milieu d’espaces fleuris, ombragés, verdoyants et accueillants en dehors de la pollution des échappements et du bruit des moteurs ? C’est un pari à faire avec eux et pourquoi pas au moyen d’un « référendum d’initiative populaire » ?.
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